Rédiger votre thèse vous est impossible? Vous empêche de dormir? Vous ne savez pas par où commencer?

Prenez votre thèse par les cornes!

Du chaos des idées à la thèse réussie

7 étapes pour rédiger une thèse engagée et originale - sans vous arracher les cheveux!

Une méthode de bon sens par Martha Boeglin

J'ai pu rédiger ma thèse en 4 mois tout en maintenant un équilibre familial.

Le processus de rédaction scientifique peut être tétanisant et sembler insurmontable.

La qualité de l’accompagnement de Martha, sa bienveillance et son pragmatisme permettent de surmonter ces difficultés, et de trouver du plaisir dans le processus de rédaction.
Cette formation me semble être indispensable à réaliser au cours de la thèse, et permet de gagner un temps important par la suite.

Je remercie encore Martha pour l’incroyable qualité du travail et de l’aide qu’elle fournit.

Julie

Docteure en Santé Publique, Paris-Saclay

La formation a été décisive dans l'enclenchement et le déroulé d'une rédaction sereine.

La formation de Martha m’a permis, face à l’angoisse de la page blanche et à la pelote de nœuds que représentait l’ensemble des données et des idées que j’avais accumulées depuis trois ans, de mettre de l’ordre dans mes idées et d’aller à l’essentiel, de façon précise et efficace.

Je recommande donc chaleureusement à tous ceux qui ne savent pas par où commencer la rédaction de leur thèse, et qui se sentent prêts.

Zara

Docteure en Géographie, Université de Tours

Dès la 1ère minute, vous mettez

la main à la pâte!

Il existe beaucoup de livres sur la rédaction de la thèse, beaucoup de tutoriels sur YouTube. Leur

point commun : ils vous disent certes quoi faire, mais rarement comment procéder.

Avec le programme Du chaos des idées à la thèse réussie, je vous montre le comment, pas à pas. Et vous le mettez immédiatement en pratique. Mieux : vous voyez votre texte se construire progressivement.

Bref : vous n'apprenez pas seulement ce qu'il faut faire - vous le faites!

Contenu

#Module 1 : faites vos choix

LE principe d’écriture que personne ne vous explique – et grâce auquel vous dépasserez votre peur d'écrire.
Les sept questions qui vous aideront à faire le tri pour commencer.
La méthode en trois points pour construire une problématique intéressante pour votre lectorat.

#Module 2 : le micro-récit, vision de votre thèse

Les sept points capitaux pour élaborer la vision de votre thèse – et savoir où vous allez.
La formulation de votre fil directeur – pour, justement, ne pas perdre le fil en rédigeant.
L’identification des pépites de votre travail – halte au syndrome de l’imposteur!
Une séance de maïeutique pour faire émerger toute la richesse de votre travail dont vous n’êtes pas (encore) conscient.

#Module 3 : vos pépites

La valorisation de votre travail – pour vous positionner clairement dans votre communauté.
Sept points stratégiques où mettre en valeur l'importance de votre contribution - et ainsi la rendre visible au lecteur, même pressé.
La cartographie de vos sources - pour avoir une vision d'ensemble sur la littérature.

#Module 4 : votre plan en deux dimensions

Les trois questions à vous poser avant de faire un plan - et éviter ainsi de vous perdre dans les détails.
Un schéma pour visualiser vos idées en deux dimensions – et structurer la macrostructure de votre plan.
Une astuce pour différencier la hiérarchie des idées - et les rendre visibles.

#Module 5 : la structure des chapitres

Une structure imparable pour rendre visible la logique de votre plan.
Les deux paragraphes indispensables pour rendre visible votre fil directeur dans chaque chapitre.
Les deux points à traiter en fin de chapitre pour aider le lecteur pressé à garder le fil.

#Module 6 : le contenu des chapitres

Les sept étapes de la rédaction pour rédiger un texte structuré et clair sans vous arracher les cheveux.
Les deux règles pour écrire des phrases claires et compréhensibles qui rendront votre pensée limpide.
Les trois conditions pour un style fluide.
Une technique rapide et ludique pour activer des connaissances passives et rédiger sans avoir constamment vos textes sous les yeux.

#Module 7 : la première impression est déterminante

La question indispensable à laquelle répondre dans la conclusion - et montrer ainsi qu'on maîtrise son sujet de bout en bout.
Une introduction qui attise la curiosité du lecteur et lui donne envie de lire la suite.
Les 9 astuces pour rédiger un titre qui montre l'intérêt de vous lire.

RRédigez une thèse qui sera reconnue par vos pairs : mettez votre expertise en valeur!

Chaque jour qui passe est un jour de trop

Chaque jour qui passe est un jour de moins pour la rédaction de votre thèse.

Chaque jour qui passe est un jour gaspillé.

Ne nous mentons pas : cette thèse, vous devez la rédiger.

Attendre, remettre au lendemain, procrastiner, ne fait qu'augmenter la pression.

Et quand la pression devient trop forte, elle vous empêche de prendre du recul, de finaliser vos idées, de relire votre texte à tête reposée.

N’attendez pas le dernier moment pour vous mettre à la rédaction : ce serait vraiment dommage de bâcler la dernière ligne - celle qui vise à valoriser vos recherches.

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Avec cette méthode, il est possible d'écrire environ 200-250 pages en 2 mois.

Pour ma part, je n'ai pas de difficultés avec l'écriture, car j'y trouve du plaisir depuis fort longtemps. Mais je ne voulais pas passer encore 9-12 mois sur la rédaction de ma thèse par manque de méthode. Je voulais terminer rapidement. Maintenant que j'ai terminé de rédiger mon document, je me rends compte combien cette formation m'a apporté. Et pas seulement pour la thèse!! J'ai appris à construire un plan avec méthode, et cette méthode est adaptable à l'écriture d'articles. Elle permet pas à pas de clarifier ses idées. Avec cette méthode, il est possible d'écrire environ 200-250 pages en 2 mois.

Plus qu'une méthode d'écriture, Martha propose une méthode de travail.

L'accompagnement personnel est, me semble-t-il, tout aussi important que la méthode proposée.

Stéphanie

Docteure en urbanisme, Tours

Le tabou de l'écriture à la fac

Rares sont les universités qui proposent des formations pratiques à la rédaction d’une thèse. Comme si les compétences rédactionnelles acquises en faisant des dissertations suffisaient à rédiger un texte d’envergure.

A moins qu’on n'y considère l’écriture comme une compétence innée – c’est en tous cas ce que semblent croire nombre d’universitaires. Ceux, notamment, qui refusent qu’on introduise des formations à la rédactions dans leurs ED. « Nos doctorants savent écrire!» me rétorque-t-on souvent.

Bien sûr, ils savent écrire. Mais savoir écrire ne veut pas dire pour autant savoir rédiger un texte scientifique de qualité – et encore moins quand ce texte doit faire quelques centaines de pages.

Le problème, c’est que la plupart des directeurs de thèse ont eux-même rédigé leur thèse à force de tâtonnements. Et donc, s’ils savent diriger des recherches, ils savent rarement diriger la rédaction. Lancez-vous ! disent-ils souvent. Envoyez-moi votre texte, on en discutera, disent-ils encore.

Et à force de tâtonnements, on finit par construire le texte. Ou par s’épuiser.

Pour rédiger un texte d’envergure – et de qualité - il faut de la méthode.

La 1^ère bonne nouvelle : la méthode existe – des milliers de doctorants l’ont pratiquée.
La 2^ème bonne nouvelle : la méthode, ça peut s’acquérir – non, savoir rédiger une thèse, ça n’est pas inné !

Mieux : savoir écrire vite et bien est une compétence qui vous servira toute votre vie.

Ce programme vous intéresse? Cliquez ici pour prendre RV

Grâce à cette formation, j'ai pu avancer sereinement

Cette formation m'a permis de me focaliser sur l'essentiel

J'ai aimé les questions qui m'ont aidée à structurer mes idées

Une méthode de travail pour avancer plus sereinement

Qui est la formatrice?

Martha Boeglin, Docteure en Philosophie

Au moment de rédiger ma propre thèse, j'ai traversé une long passage à vide.

Paralysée face à la montagne d'informations à traiter, je passais mon temps à me demander : par où commencer? Que dire? Comment structurer le chaos de mes idées? Ai-je vraiment tout lu?

Je n'écrivais pas.

Et je culpabilisais. Et le temps qui passait m'angoissait...

Rédiger sa thèse : la difficulté d'écrire est un tabou à l'université

Plus tard, j'ai appris que je n'étais pas la seule à me poser ces questions devant ma thèse. Mais bizarrement, à l'université, personne ne parle de la difficulté d'écrire.

L'angoisse de la page blanche y est un sujet tabou.

Pourtant, lorsqu'il s'agit de rédiger un texte d'envergure, tout le monde peine. Même les professeurs les plus chevronnés. L'angoisse de la page blanche est connue de toute personne qui écrit. Même des plus grands auteurs.

C'est parce que j'ai vu trop de gens autour de moi souffrir au moment de rédiger leurs thèses, voire les abandonner alors qu'ils avaient toutes les capacités intellectuelles pour mener à bien leur travail, que j'ai décidé de mettre mon expérience au service des jeunes chercheurs.

Rédiger une thèse n'est pas affaire de talent littéraire. C'est avant tout une affaire d'organisation.

Voilà maintenant 20 ans que j'accompagne des doctorants de toutes disciplines dans le cadre des formations doctorales de diverses universités françaises et allemandes notamment.

Mon travail se nourrit de mon expérience, bien sûr, mais aussi des recherches sur l'enseignement de la rédaction qui se font en Allemagne.

En effet, depuis les années 80, des universités - notamment celles de Bielefeld et Bochum - on mis en place des Writing Center à l'attention des étudiants et du personnel enseignant : ateliers d'écriture, mentorat, formations à l'enseignement de la rédaction scientifique, accompagnés de recherches et de publications sur le sujet.

C'est tout ce travail pratique et scientifique, méconnu en France, qui alimente le mien. Et qui constitue aussi l'originalité et la force de mon travail.

Lorsque je me suis présentée dans les universités françaises il y a presque vingt ans, ce type d'approche était inconnu et suscitait de la méfiance, sinon un mépris affiché ("nos doctorants savent écrire!")

Néanmoins, j'ai rencontré quelques responsables que ma proposition intéressait. On a tenté l'expérience.

Celle-ci ayant été concluante, une collaboration est née - c'est ainsi que je travaille depuis plus de 12 ans avec des universités telles que celles de Paris-Saclay ou de Lyon.